Dans ces citées sans âme.
Des pauvres gens versent des larmes.
Ils sont seuls et vieux.
Et n’ont bien sur rien d’mieux
Que cet espace sans joie
Où ne règne qu’une loi
Celle des bandes de voyous
Qui balancent des cailloux
Sur ces médecins, pompiers.
Venus aider ces suppliciés.
Ces pauvres gens otages.
De ces bandes de sauvages.
Qui veulent garder dans l’ombre.
Tous ces trafics bien sombres
.
C’est dans notre belle France
Celle de notre enfance
Que ces choses très graves
De braves gens entravent.